Apple a annoncé lors de la WWDC, en juin dernier, ses nouveautés software… et, comme d’habitude, ça fait débat.

Mais cette fois, il ne s’agit pas juste d’un relooking de l’interface : la marque adopte une vision radicalement opposée à celle qu’elle avait jusque-là… et que ses principaux concurrents défendent encore.

Alors, quelles en sont les conséquences ? Et pourquoi parle-t-on d’un coup de com’ risqué… mais redoutablement efficace ?

Oubliez iOS 19 : Apple a harmonisé la numérotation de tous ses systèmes pour passer directement à iOS 26.

Pourquoi ? Pour plus de cohérence. Leur objectif est simple : que, peu importe l’appareil que vous utilisez, vous retrouviez exactement les mêmes repères visuels et fonctionnels, sans être dépaysé.

Mais ça va plus loin…

Ce nouveau design – qui a fait grincer des dents de nombreux testeurs pendant la bêta – est pensé pour être utilisé dans un environnement spatial et immersif, pas seulement à travers un écran plat. Apple prépare déjà la transition vers une technologie qu’on consommera différemment, avec une interface plus “augmentée” que “physique”.

C’est un pari risqué : changer aussi radicalement alors que les utilisateurs ne sont pas encore prêts. Mais ce n’est pas la première fois qu’Apple ose ce genre de rupture.

C’est pas la premier foie que Apple fais ça,

En 2013, avec iOS 7, ils ont abandonné le skeuomorphisme (textures réalistes) pour le flat design minimaliste. À l’époque, beaucoup ont détesté. Aujourd’hui, tous les constructeurs ont adopté ce style.

Voilà le vrai coup de com’ : bousculer les habitudes, imposer une nouvelle vision, et préparer le terrain pour la prochaine révolution.

Résultat : tout le monde parle d’Apple, en bien ou en mal. On commente, on partage, on critique, on like… et l’effet buzz se prolonge bien au-delà du lancement.